« On commence à faire de la généalogie avec l’arrivée de la retraite », « Le but du généalogiste est de découvrir un maximum d’ancêtres », « Avec toutes les sources en ligne, le généalogiste ne met plus les pieds aux Archives », ou encore « Bien qu’interdites en France, de nombreux généalogistes ont fait ou voudraient faire des recherches ADN », constituent de nombreux clichés que tout généalogiste a entendu au moins une fois à propos de son loisir, et dans lequel il ne se retrouve pas forcément.
C’est pour battre en brèche (ou au contraire confirmer) ces clichés caricaturaux, et surtout pour essayer de dresser le(s) portrait(s) du généalogiste, que j’ai proposé sur mon blog le questionnaire : « La généalogie : pourquoi, comment et pour quoi faire ? ».

En effet, partie en quête de mes ancêtres il y a plus de 25 ans un peu par hasard, et côtoyant d’autres généalogistes aux profils variés, j’ai eu envie de savoir ce qui poussait chacun à se lancer dans l'aventure de la généalogie. Mon enquête cherchait ainsi à découvrir les raisons qui poussent le généalogiste à entreprendre des recherches, les moyens et outils qu’il utilise au cours de celles-ci, et ce qu’il fait de ses résultats. Il s’agissait d’une enquête de type sociologique sur nos pratiques de la généalogie, que, par souci de simplicité, j’ai réalisé à travers un questionnaire aux questions majoritairement fermées.
Compte tenu de la quantité de matière obtenue à travers cette enquête, je scinderai les résultats en deux articles :

  • une présentation de l’enquête (méthodologie) et ses premiers résultats via un portrait socio-démographique du généalogiste et de sa pratique (objet du présent article),
  • les raisons qui poussent le généalogiste à faire des recherches, les outils qu’il utilise et ce qu’il fait de ses résultats, et ce qu’il aime ou n’aime pas dans la généalogie (prochain article).

Chaque article présentera les résultats sous forme d’infographies auquel le lecteur pressé pourra s’intéresser uniquement (voir les infographies globales en fin d’article). Ces infographies seront accompagnées de commentaires et mises en perspectives (notamment avec les enquêtes réalisées récemment par d’autres généablogueurs) pour celui qui voudra aller un peu loin.
Ce premier article va donc expliquer la méthodologie de l’enquête. Puis il présentera les portraits socio-démographiques des généalogistes qui y ont répondu, et enfin, la fréquence de la pratique de leur activité, parties auxquelles on peut accéder directement en cliquant sur les liens.

Méthodologie de l’enquête

Mise à disposition et contenu du questionnaire

J’ai mis en ligne mon questionnaire via la plateforme Limesurvey intégrée à mon blog (merci à mon webmestre pour tous ses paramétrages !). Il a été accessible du 15 mai au 15 juillet 2017 inclus[1]. Il était scindé en cinq sujets :

  • A quelle fréquence faites-vous de la généalogie ? (2 questions sur l’ancienneté et la fréquence actuelle de la pratique) ;
  • Pourquoi faites-vous de la généalogie ? (sujet décliné en 17 questions réparties en 4 thèmes) ;
  • Comment et pour quoi faites-vous de la généalogie ? (sujet décliné en 27 questions réparties en 4 thèmes) ;
  • Ce que vous aimez et n’aimez pas en généalogie (4 choix à faire parmi une liste de 10 propositions) ;
  • Le profil du répondant (sexe, année de naissance, lieu de résidence, ...).

Seules les questions concernant le profil du répondant, la fréquence de sa pratique, et ce qu’il aime / n’aime pas en généalogie, étaient à réponse obligatoire.

J’ai élaboré ce questionnaire en essayant d’être aussi complète que possible (en évitant toutefois d’être trop trop longue) sur les plans du « pourquoi » et du « comment et pour quoi faire », en m’appuyant sur ma propre pratique et expérience de la généalogie, des échanges avec d’autres pratiquants de généalogie, diverses lectures.
N’ayant pas un parcours sociologique professionnel, mes questions et leurs formulations ne respectent peut-être pas les méthodologies applicables à une telle enquête. J’ai fait tester une première version du questionnaire à Marie-Hélène Laplace du blog La forêt de Briqueloup et Clément Bècle du blog Genbècle. Leurs retours m’ont permis d’améliorer le fond et la forme, en proposant une plus grande exhaustivité dans les questions et dans les choix de réponses, ainsi qu’une présentation plus structurée et plus agréable pour les répondants. Je les remercie encore particulièrement pour leurs conseils pertinents et leur aide tout au long de l’enquête !
Je n’ai pas non plus un profil de statisticienne, l’analyse de mes réponses (faite à partir des données travaillées sur Calc de LibreOffice) n’est dont peut-être pas réalisée dans les règles de l’art.
Avec tout ça, j’espère quand-même que les résultats de mon enquête correspondent à une certaine réalité, toutefois de toute façon biaisée par le recrutement des répondants...

Recrutement des répondants

J’ai publié l’article annonçant mon enquête sur mon blog le 15 mai 2017, et twitté son lien juste après. Mon tweet a été retweeté par de nombreux twittos pendant plusieurs jours. L’information y a également été rediffusée à partir de juillet.
Marie-Hélène Laplace et Clément Bècle ont régulièrement diffusé l’information dans différents groupes de généalogie sur Facebook. Yannick Voyeaud du site éponyme a envoyé un mail sur la liste de discussion d’Ancestris avec un lien sur mon article, en début et en fin d’enquête. Fin mai, Marie-Hélène a transmis oralement lors d’une réunion puis par mail l’information à l’association de généalogie à laquelle elle participe activement. Début juillet, Clément a envoyé un mail à ses abonnés pour leur proposer de répondre à l’enquête.
Courant juin, j’ai contacté 11 associations locales de généalogie (prises au hasard à partir d’un annuaire dédié), leur demandant de transférer mon enquête à leurs adhérents.
J’ai également contacté par mail toutes les personnes qui m’avaient aidée lors de la recherche d’actes dans différents services d’archives départementales via l’entraide de FranceGenWeb, ainsi que les personnes qui m’avaient contactée via mon blog depuis sa création, leur demandant de répondre à mon questionnaire voire de le diffuser à leur entourage. Parmi ces derniers contacts, se trouvait Frédéric Ville de la Revue Française de Généalogie, qui m’a indiqué transmettre mon enquête à ses contacts. Le hasard a fait que le mail de Clément aux abonnés de sa newsletter et celui de Frédéric Ville à ses contacts étaient concomitants. Ils ont entraîné un afflux de réponses à mon enquête qui stagnait alors. Enfin, j’ai contacté les quelques personnes de mon entourage proche et amatrices de généalogie pour les inviter à répondre à mon enquête.

Que toutes les personnes qui ont contribué à faire connaître mon enquête, et que toutes celles qui y ont répondu, soient ici chaleureusement remerciées ! Grâce à vous tous, j’ai atteint un nombre de répondants que j’étais loin d’imaginer ! Ceci me permet d’avoir des réponses a priori plus représentatives de l’échantillon enquêté.

L’échantillon enquêté : critique sur les modes de recrutement, biais dans les réponses et représentativité

A noter que compte tenu de ces modes de recrutement, principalement basés sur Internet et les réseaux sociaux dans des cercles de généalogie existants, on peut imaginer un certain biais dans les profils des répondants. Il était toutefois difficile de toucher de manière égale tous les types de généalogistes, connectés ou non... Il était bien sûr encore plus difficile et même impossible d’atteindre l’exhaustivité des pratiquants francophones de généalogie. Aucune enquête ne les recensant précisément, il n’est pas possible de vérifier de quelle façon mon échantillon est représentatif de cette population[2].
Les répondants ne correspondent donc qu’à un échantillon des personnes francophones qui pratiquent la généalogie (amateurs et professionnels confondus). Puisque la majorité des personnes qui ont répondu à mon enquête s’intéressent à la généalogie via Internet, on peut imaginer qu’ils sont en moyenne plus jeunes que la moyenne des personnes qui pratiquent la généalogie en général. Comme ils ont eu connaissance de mon enquête, ils sont de près ou de loin, directement ou indirectement, en relation avec moi.
Les résultats que je vais présenter ci-dessous, ne peuvent donc pas être représentatifs de la réalité de l’ensemble des pratiquants francophones de généalogie, mais ils donnent plutôt une image des généalogistes francophones connectés en 2017 et avec qui je suis de près ou de loin en relation.

Le portrait socio-démographique des généalogistes

Démographie des généalogistes

Les résultats présentés ci-après se basent sur 705 réponses reçues. Les questions n’étant pas obligatoires, chaque question peut bien sûr être basée sur un nombre inférieur de réponses.

Les réseaux sociaux, principal vecteur pour répondre à ce questionnaire

Connaissance de l’enquête

Connaissance de l’enquête.
Source : Scribavita.

Les deux tiers des répondants ont connu mon enquête via les réseaux sociaux (Twitter et Facebook notamment). On peut donc supposer que les répondants sont globalement plus jeunes (ou en tous cas plus connectés) que la moyenne des généalogistes, ce qui pourra avoir un impact sur les réponses (âge, âge au démarrage, outils utilisés, ...). Nous n’avons toutefois pas les moyens de mesurer cet impact précisément.
Près d’un répondant sur cinq (18 %) l’a connue par un autre moyen que ceux cités, et le précisent dans les commentaires, il s’agit notamment de ceux cités dans le paragraphe sur la méthodologie de l’enquête (liste de discussion d'Ancestris, association de généalogie, mail de Clément Bècle à ses abonnés notamment).
Les autres l'ont connue via mon blog (4 %), un mail que je leur ai envoyé (6 %), une personne de leur entourage (5 %).

Plus de la moitié des généalogistes sont des femmes

Genre des généalogistes

Genre des généalogistes.
Source : Scribavita.

L’enquête de Clément Bècle menée en février et mars 2017 concernant les logiciels de généalogie les plus utilisés en 2017 (et que je vous invite vivement à lire, si ce n’est déjà fait, tant pour l’explication de sa méthodologie d’enquête que pour ses résultats) avait une proportion hommes-femmes de 56-44 %.
La proportion ici est quasiment inversée et la moyenne de nos réponses arrive quasiment à une égalité entre la proportion d’hommes et celle de femmes (respectivement 49 et 51 %)... La thématique de l’enquête de Clément, au fond technique, a-t-elle fait augmenter la proportion des hommes ? La thématique de la mienne, au fond davantage sociologique et qui consistait à « parler de soi », a-t-elle fait augmenter la proportion des femmes ?... On peut toutefois noter que l’enquête menée par Geneanet en juillet 2017 et dont les résultats ont été diffusés par la Revue française de généalogie montre la même proportion que dans mon enquête.

Un quart des généalogistes est âgé de 59 à 67 ans, mais l’âge moyen du généalogiste est 55 ans

Les aĝes des répondants et l'âge auquel ils ont démarré la généalogie ont été déduits de leur année de naissance et du nombre d'années depuis lesquelles ils pratiquent la généalogie.
L’âge des généalogistes

Age des généalogistes.
Source : Scribavita.

Les âges des répondants s’étalent de 18 à 89 ans, soit une plage de 71 ans. L’âge moyen est de 55 ans, l’âge médian 59.
25 % des répondants ont entre 59 et 67 ans. Un quart des répondants représentent donc 10 % de la plage d’âges. On peut donc avancer que les néo-retraités sont les plus présents dans l’enquête.
On ne note pas de différence significative entre les hommes et les femmes.

Plus de la moitié des généalogistes a commencé il y a 15 ans ou plus

Ancienneté dans la généalogie

Ancienneté dans la généalogie.
Source : Scribavita.

56 % des répondants ont commencé la généalogie il y a 15 ans ou plus. Notre public est donc plutôt ancien dans sa pratique, ce qui pourra influencer les autres résultats. En effet, un généalogiste avec une grande antériorité n’a pas le même rapport à son activité (attentes, besoins, aisance), que celui qui débute.
Le graphe par plages de 5 ans permet de voir plus en détail l’ancienneté dans leur pratique des répondants. Il permet également de remarquer qu’il n’y a pas de différence significative entre les hommes et les femmes.
On retrouve les mêmes ordres de grandeur que dans l’enquête d’Elise Lenoble Les généalogistes connectés et les archives publiée en novembre 2017 sur son blog Auprès de nos racines.

Il n’y a pas d’âge pour commencer à faire de la généalogie

Les deux répondants qui ont démarré la généalogie le plus jeune l’ont fait à 9 ans (ce sont deux femmes), celui qui a commencé en étant le plus âgé avait alors 79 ans (un homme).
Sur l’ensemble de l’échantillon, il n’y a pas de différence significative entre les hommes et les femmes.
Age aux débuts en généalogie

Age aux débuts en généalogie.
Source : Scribavita.

Le cliché qui voudrait qu’on commence la généalogie à la retraite s’effondre avec ce diagramme, et l’on peut dire qu’il n’y a pas d’âge pour commencer à faire de la généalogie !
A noter toutefois que compte tenu du recrutement des répondants (via les réseaux sociaux) et de leur ancienneté dans la pratique de la généalogie, l’âge au démarrage dans la généalogie peut être artificiellement abaissé par rapport aux généalogistes moyens.
Si l’enquête de Geneanet indiquait que près d’un tiers des répondants avait commencé entre 50 et 65 ans, ici, c’est un peu plus du quart des répondants qui a commencé dans cette tranche d’âge.
Un zoom sur les généalogistes actuellement âgés de 60 ans et plus nous permet de supprimer (ou au moins minimiser) le biais d’un échantillon plus jeune a priori que les généalogistes moyens, échantillon qui a de facto commencé plus jeune. Si sur l’ensemble de l’échantillon, 18 % des généalogistes ont démarré pendant l’enfance ou l’adolescence, et 8  % à la retraite, ils sont ainsi respectivement 5 % et 20 % quand on s’intéresse aux généalogistes actuellement âgés de 60 ans ou plus. Ce dernier pourcentage se rapproche davantage de celui trouvé par Geneanet.

Un échantillon à majorité française, habitant pour un tiers dans une grande ville ou son agglomération

Pays d’habitation des répondants

Pays d’habitation des répondants.
Source : Scribavita.

Une majorité écrasante des répondants habitent en France, 6 % dans de grands pays en partie francophones (Canada, Belgique, Suisse). Les 2 % restant habitent aux quatre coins du monde, pays francophones ou non : Afrique du Sud, Etats-Unis, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni, et Suède.
Commune d’habitation des répondants

Commune d’habitation des répondants.
Source : Scribavita.

L’échantillon rassemble des personnes habitant dans tous types d’environnement : grande ville ou son agglomération (31 %), ville moyenne -20 à 100 000 habitants-(19 %), petite ville (25 %), village -moins de 2 000 habitants-(25 %). Même s’il n’est pas possible de le comparer avec la population française[3], l’ensemble des tailles de ville sont représentées, donc l’accès à différentes pratiques de généalogie (Archives, lieux de conférences ou de congrès, ...), correspond à toutes les situations rencontrées par les généalogistes.

Fréquence de la pratique de la généalogie

La question était « A quelle fréquence faites-vous actuellement de la généalogie (pour vous-même et/ou pour d’autres personnes) ? », sans précision sur ce que cette pratique recouvrait : faire des recherches, les saisir, lire des actualités et blogs généalogiques, ..., ni sur la durée passée à chaque « séance ». Les fréquences proposées avaient été découpées arbitrairement dans des grandes classes, et étaient accompagnées d’éléments d’appréciation pour aider les personnes à répondre (exemple : « Plusieurs fois par semaine : vous adorez la généalogie, et vous avez du temps devant vous »). Chaque personne a donc répondu subjectivement, selon l’interprétation qu’il a pu faire de ces propositions. Plusieurs répondants ont d’ailleurs précisé dans les commentaires que ces doubles propositions ne leur étaient pas adaptées, notamment parce qu’ils pratiquaient la généalogie de manière saisonnière : plus souvent à l’automne et en hiver où les autres activités de loisirs sont plus limitées, moins souvent au printemps et en été, les autres loisirs et activités prenant le pas (jardinage, garde des petits-enfants, voyages, ...).
Les résultats suivants sont donc à prendre avec circonspection.
Fréquence de la pratique de leur activité par les généalogistes

Fréquence de la pratique de leur activité par les généalogistes.
Source : Scribavita.

Un tiers des généalogistes font de la généalogie tous les jours ou tous les deux jours

Les deux tiers des répondants (y compris les 3 % de professionnels) font de la généalogie plusieurs fois par semaine. Parmi eux, la moitié, donc un tiers des répondants, en font même tous les jours ou tous les deux jours.

Les quarantenaires sont les plus assidus dans la pratique de la généalogie

Les différences dans la fréquence de la pratique selon l’âge ne sont pas très marquées.
La part des 30-39 ans qui pratiquent à une fréquence élevée (27 %) est un peu plus faible que dans l'ensemble de l'échantillon (34 %), et ceux qui pratiquent à une faible fréquence (39 %) est plus élevée que dans l'échantillon (27 %). Les 40-49 ans qui font très souvent de la généalogie le font dans une proportion plus élevée (41 %). Peut-être que les quarantenaires disposent d’un peu plus de temps libéré par des enfants devenus plus grands, à l’inverse des trentenaires qui ont moins de temps à consacrer à leurs loisirs.
Proportionnellement, les retraités ne pratiquent pas la généalogie à une fréquence plus élevée que dans l’échantillon, mais leur part plus importante dans celui-ci moyenne sans doute ses résultats.

L’ancienneté dans la pratique n'influence pas la fréquence de celle-ci

Il n’y a pas de corrélation nette entre la fréquence de la pratique actuelle de la généalogie et l’ancienneté dans celle-ci. D’une manière générale, ceux qui découvrent la généalogie (et leur envie d’explorer une nouvelle activité ou la difficulté à se lancer) ne la pratiquent donc pas ni plus ni moins que ceux qui la pratiquent depuis de nombreuses années (et leurs plus nombreux sujets de recherches rendus possibles par une plus grande expérience, ou moins de sujets de recherches avec les sources qui pourraient s’épuiser...).

La première partie de cette enquête a permis de (re)découvrir le portrait démographique du généalogiste. Le répondant-type de mon enquête est donc une femme âgée de près de 60 ans qui habite dans une grande ville française ou son agglomération. Cela fait plus de 15 ans qu’elle a commencé à faire de la généalogie, activité qu’elle pratique tous les jours ou tous les deux jours.
Nous verrons dans un prochain article la suite et la fin des résultats de cette enquête, relatifs à la pratique de la généalogie : les raisons qui poussent les généalogistes à pratiquer leur activité, comment il la pratiquent et ce qu’ils en pensent.

Les infographies pour résumer

Le profil démographique des généalogistes

Le profil démographique des généalogistes.
Source : Scribavita.

Fréquence de la pratique de leur activité par les généalogistes

Fréquence de la pratique de leur activité par les généalogistes.
Source : Scribavita.


[1]Des difficultés indépendantes de ma volonté ne m’ont pas permis de publier ces résultats aussi tôt que je l’avais envisagé au début et que je l’aurais souhaité.
[2]Contrairement par exemple au recensement général de la population française par l’INSEE, où pour les grandes villes, seule une partie de la population est désormais enquêtée mais pour lequel des redressements basés sur des données complètes permettent de déterminer statistiquement le profil général de la population.
[3]Si je peux trouver sur l’INSEE la population de toutes les communes, je ne peux pas distinguer, à partir de sa taille, si elle appartient à l’agglomération d’une grande ville ou si elle est de l’une des tailles citées ensuite.

Sources :

  • Recueil et analyse des données, conception et réalisation des infographies : Scribavita. Toute reproduction, réutilisation partielle ou totale sur un quelconque support sans mention de l'auteur Scribavita est interdite.
  • Sources des illustrations (hors logos de Scribavita et propre à l’enquête) : illustration principale : Conçu par Freepik, autres logos :
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Article écrit par Chantal, le 4 décembre 2017

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