scribavita

il était une fois mon blog de généalogie

Pour ce généathème d’octobre qui nous lance le défi de parler en 100 mots de l’un de nos ancêtres, voici quelques paroles (100 mots exactement, donc !), de la grand-mère maternelle de mon grand-père maternel, née en 1858. Un prochain billet vous racontera sa vie avec plus de détails. Le lecteur attentif comprendra alors l'étrangeté de certains mots de ce premier billet...

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Avec le mois de septembre et sa rentrée, reviennent les généathèmes et les propositions de Sophie Boudarel. Pour ce mois, nous avons le choix entre l'organisation et le pourquoi de son blog.
Mon premier article avait été plutôt succinct sur cette dernière question, et j'ai depuis un peu plus de recul sur la chose. Je profite donc de l'occasion pour expliquer les raisons de la création de mon blog qui a vu le jour en février dernier.

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Pour le généathème du mois de mai, il nous est proposé de raconter le parcours d'un membre de notre famille pendant la seconde guerre mondiale. Je vais évoquer la vie de mon grand-père qui fut prisonnier de guerre pendant un an et demi au Stalag VI A à Hemer en Allemagne, à partir de 1940.

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(Echanges) épistolaires

Le généathème d'avril nous propose de rédiger la biographie de l'un de nos ancêtres que nous affectionnons plus particulièrement. Plusieurs de mes ancêtres mériteraient de s'attarder sur eux, j'ai d'ailleurs le projet de le faire sur ce blog dans les semaines et les mois qui viennent. Mais pour ce mois, j'ai choisi de parler de mon arrière-arrière-grand-père Louis Labeille, pour son parcours particulier et son nom de famille qui a du piquant... mais je ne vais pas tout dévoiler dès le début de mon billet...
Je vais en parler à la façon de généablogueurs qui l'ont fait avant moi, Evelyne et son blog Ciel ! Mes aïeux... qui m'a donné l'idée de la forme, Mastie et son blog Murmures d'ancêtres sur l'idée de laquelle nous nous sommes croisées.

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Mon précédent billet racontait comment j'avais fait la connaissance de la fonderie Ducel à Pocé-sur-Cisse et découvert la statue de Saint-Eloi fabriquée entre autres par mon aïeul Jacques Bruère ou son frère Silvain en 1844. Le généathème de ce mois nous proposant d'aborder les métiers de nos ancêtres tombe donc à point nommé pour évoquer le métier de mouleur en sable qu'ils ont exercé dans cette fonderie d'art au milieu du XIXème siècle.

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