scribavita

il était une fois mon blog de généalogie

Dans le précédent article « La généalogie : pourquoi, comment et pour quoi faire » (1/2) : le profil du généalogiste, nous avons vu les premiers résultats de mon enquête. 58% des généalogistes sont de sexe féminin, leur âge moyen est de 55 ans. Plus de la moitié de notre échantillon a commencé la généalogie depuis plus de 15 ans, activité pratiquée tous les jours ou tous les deux jours par un tiers des répondants. Ces résultats nous permettaient également de battre en brèche le cliché qui veut qu’on démarre la généalogie à la retraite, puisque sur l’ensemble de l’échantillon, seuls 8 % des généalogistes avaient commencé leurs recherches à cette période de la vie, et ils étaient 20 % à l'avoir fait à ce moment quand on s'intéressait aux généalogistes âgés de 60 ans et plus.
Cet article va montrer les caractéristiques de la pratique de la généalogie. Nous verrons donc quelles sont les principales motivations qui poussent le généalogiste à mener son activité, les outils et moyens qu’il utilise dans sa pratique, et ce qu’il pense de sa pratique et de son activité.

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« On commence à faire de la généalogie avec l’arrivée de la retraite », « Le but du généalogiste est de découvrir un maximum d’ancêtres », « Avec toutes les sources en ligne, le généalogiste ne met plus les pieds aux Archives », ou encore « Bien qu’interdites en France, de nombreux généalogistes ont fait ou voudraient faire des recherches ADN », constituent de nombreux clichés que tout généalogiste a entendu au moins une fois à propos de son loisir, et dans lequel il ne se retrouve pas forcément.
C’est pour battre en brèche (ou au contraire confirmer) ces clichés caricaturaux, et surtout pour essayer de dresser le(s) portrait(s) du généalogiste, que j’ai proposé sur mon blog le questionnaire : « La généalogie : pourquoi, comment et pour quoi faire ? ».

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Lors du précédent épisode qui se déroulait à Manissol, à Saint-Christo-en-Jarez (42), nous avons vécu la naissance de Pierre, mon SOSA 16, puis nous avons passé une journée à la ferme en compagnie de son père, Pierre, sur des terres possédées encore de nos jours par des membres de ma famille. Alors qu’il nous emmenait dans sa charrette pour déclarer la naissance de son fils, j’étais étonnée de la route qu’il nous faisait prendre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la résolution d’un mystère christodaire, une épine rencontrée alors que je débutais dans mes recherches généalogiques.

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Après avoir fait la connaissance de Jeanne et de Pierre qui m’avaient enfin révélé pourquoi ils avaient migré « loin » de leurs terres d’origine (12 kilomètres, ce n’est pas une paille !...), nous les avions laissés en pleine nuit. Couchée dans une chambre à côté de la pièce principale, j’étais restée dans l’angoisse de quelques gémissements émis par Jeanne et du départ en trombe de Pierre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la suite de ce premier épisode (accessible dans un précédent article : Pierre et Jeanne, les anticonformistes). Un autre mystère christodaire s’annonce aujourd’hui !

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Le mois de juin et son désormais traditionnel challenge AZ, initié par la généalogiste Sophie Boudarel de La Gazette des ancêtres, se termine, et l’heure est au bilan pour la plupart des participants.
N’ayant pas pu y prendre part cette année, faute d’idée et de disponibilité notamment, j’en ai profité pour lire un maximum d’articles (même si je suis loin du compte compte tenu de leur nombre particulièrement élevé !). Malgré tout, je vous propose dans cet article un mini-challenge AZ, sorte de bilan du cru 2017 à travers un aperçu des sujets traités par quelques-uns de ses 87 participants.

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