scribavita

il était une fois mon blog de généalogie

Comment un homme a passé cinq fois plus de publications de mariage que de mariages alors qu'un mariage ne nécessite que deux publications ? Pour résoudre cette équation, découvrons le parcours marital d’un homme assez particulier à la fin du XIXème siècle.

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Dans le précédent épisode Qui ira au conseil de famille ?, nous avons retrouvé la famille Poyet-Rousset en 1856 dans leur ferme de Manissol à Saint-Christo-en-Jarez (Loire), une semaine après le décès du chef de famille, Pierre. J’avais donné quelques conseils à Pierre fils sur la composition que devait avoir le conseil de famille devant le juge de paix. Pour ce nouveau rendez-vous ancestral qui a lieu le lendemain du précédent, nous sommes à Saint-Héand le 23 novembre 1856, dans le bureau du juge de paix du canton éponyme, afin d’y nommer les tuteurs des enfants mineurs devenus orphelins.

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Pour ce nouveau rendez-vous ancestral, nous sommes de retour à Manissol dans la commune de Saint-Christo-en-Jarez (Loire), le 22 novembre 1856.
Alors que Jeanne Rousset (SOSA 33) est décédée depuis onze ans à l’âge de 45 ans, son mari, Pierre Poyet (SOSA 32) s’est éteint une semaine auparavant, tout juste âgé de 64 ans. Il laisse une fratrie de huit enfants encore vivants dont deux sont mineurs, Jean-Marie le jeune, âgé de 17 ans, et François, 13 ans.

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Lors du précédent épisode qui se déroulait à Manissol, à Saint-Christo-en-Jarez (42), nous avons vécu la naissance de Pierre, mon SOSA 16, puis nous avons passé une journée à la ferme en compagnie de son père, Pierre, sur des terres possédées encore de nos jours par des membres de ma famille. Alors qu’il nous emmenait dans sa charrette pour déclarer la naissance de son fils, j’étais étonnée de la route qu’il nous faisait prendre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la résolution d’un mystère christodaire, une épine rencontrée alors que je débutais dans mes recherches généalogiques.

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Après avoir fait la connaissance de Jeanne et de Pierre qui m’avaient enfin révélé pourquoi ils avaient migré « loin » de leurs terres d’origine (12 kilomètres, ce n’est pas une paille !...), nous les avions laissés en pleine nuit. Couchée dans une chambre à côté de la pièce principale, j’étais restée dans l’angoisse de quelques gémissements émis par Jeanne et du départ en trombe de Pierre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la suite de ce premier épisode (accessible dans un précédent article : Pierre et Jeanne, les anticonformistes). Un autre mystère christodaire s’annonce aujourd’hui !

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