Pour ce généathème d’octobre qui nous lance le défi de parler en 100 mots de l’un de nos ancêtres, voici quelques paroles (100 mots exactement, donc !), de la grand-mère maternelle de mon grand-père maternel, née en 1858. Un prochain billet vous racontera sa vie avec plus de détails. Le lecteur attentif comprendra alors l'étrangeté de certains mots de ce premier billet...

Cessez de me titiller ! J’ai peut-être eu la guigne mais je suis une gagnante ! Ce mariage m’a bien arrangé, mais je n’ai pas réussi à changer mon benêt de mari... Après la naissance de nos enfants, si nous avons divorcé parce qu’il me trompait, je ne me suis pas trompée de chemin en quittant ma Côte d’Or natale pour Paris. Partir dans l’inconnu était un changement radical, mais avec ma sœur, nous nous sommes bien aidées. J’ai donc refait ma vie à Paris, et si tout n'a pas toujours été facile, j'ai élevé mes enfants et petits-enfants dignement...


Source de l'illustration :
© Scribavita

Article écrit par Chantal, le 4 octobre 2014

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