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il était une fois mon blog de généalogie

Pour ce nouveau rendez-vous ancestral, nous sommes de retour à Manissol dans la commune de Saint-Christo-en-Jarez (Loire), le 22 novembre 1856.
Alors que Jeanne Rousset (SOSA 33) est décédée depuis onze ans à l’âge de 45 ans, son mari, Pierre Poyet (SOSA 32) s’est éteint une semaine auparavant, tout juste âgé de 64 ans. Il laisse une fratrie de huit enfants encore vivants dont deux sont mineurs, Jean-Marie le jeune, âgé de 17 ans, et François, 13 ans.

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Un acte d’état civil ou paroissial ne permet pas simplement d’ajouter un individu à son arbre. Si les prénoms originaux que l’on y découvre nous font sourire ou nous interpellent, la lecture approfondie de l’acte de baptême de mon ancêtre au prénom (voire au patronyme) le plus original de ma généalogie, Bonaventure MARIE DIT BROHIER, et qui présentait la particularité de n'avoir ni parrain ni marraine, va nous permettre de réfléchir à son histoire.

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Dans le précédent article « La généalogie : pourquoi, comment et pour quoi faire » (1/2) : le profil du généalogiste, nous avons vu les premiers résultats de mon enquête. 58% des généalogistes sont de sexe féminin, leur âge moyen est de 55 ans. Plus de la moitié de notre échantillon a commencé la généalogie depuis plus de 15 ans, activité pratiquée tous les jours ou tous les deux jours par un tiers des répondants. Ces résultats nous permettaient également de battre en brèche le cliché qui veut qu’on démarre la généalogie à la retraite, puisque sur l’ensemble de l’échantillon, seuls 8 % des généalogistes avaient commencé leurs recherches à cette période de la vie, et ils étaient 20 % à l'avoir fait à ce moment quand on s'intéressait aux généalogistes âgés de 60 ans et plus.
Cet article va montrer les caractéristiques de la pratique de la généalogie. Nous verrons donc quelles sont les principales motivations qui poussent le généalogiste à mener son activité, les outils et moyens qu’il utilise dans sa pratique, et ce qu’il pense de sa pratique et de son activité.

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« On commence à faire de la généalogie avec l’arrivée de la retraite », « Le but du généalogiste est de découvrir un maximum d’ancêtres », « Avec toutes les sources en ligne, le généalogiste ne met plus les pieds aux Archives », ou encore « Bien qu’interdites en France, de nombreux généalogistes ont fait ou voudraient faire des recherches ADN », constituent de nombreux clichés que tout généalogiste a entendu au moins une fois à propos de son loisir, et dans lequel il ne se retrouve pas forcément.
C’est pour battre en brèche (ou au contraire confirmer) ces clichés caricaturaux, et surtout pour essayer de dresser le(s) portrait(s) du généalogiste, que j’ai proposé sur mon blog le questionnaire : « La généalogie : pourquoi, comment et pour quoi faire ? ».

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Lors du précédent épisode qui se déroulait à Manissol, à Saint-Christo-en-Jarez (42), nous avons vécu la naissance de Pierre, mon SOSA 16, puis nous avons passé une journée à la ferme en compagnie de son père, Pierre, sur des terres possédées encore de nos jours par des membres de ma famille. Alors qu’il nous emmenait dans sa charrette pour déclarer la naissance de son fils, j’étais étonnée de la route qu’il nous faisait prendre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la résolution d’un mystère christodaire, une épine rencontrée alors que je débutais dans mes recherches généalogiques.

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