Après avoir fait la connaissance de Jeanne et de Pierre qui m’avaient enfin révélé pourquoi ils avaient migré « loin » de leurs terres d’origine (12 kilomètres, ce n’est pas une paille !...), nous les avions laissés en pleine nuit. Couchée dans une chambre à côté de la pièce principale, j’étais restée dans l’angoisse de quelques gémissements émis par Jeanne et du départ en trombe de Pierre.
Toujours sous forme de rendez-vous ancestral, voici la suite de ce premier épisode (accessible dans un précédent article : Pierre et Jeanne, les anticonformistes). Un autre mystère christodaire s’annonce aujourd’hui !
Le mois de juin et son désormais traditionnel challenge AZ, initié par la généalogiste Sophie Boudarel de La Gazette des ancêtres, se termine, et l’heure est au bilan pour la plupart des participants.
N’ayant pas pu y prendre part cette année, faute d’idée et de disponibilité notamment, j’en ai profité pour lire un maximum d’articles (même si je suis loin du compte compte tenu de leur nombre particulièrement élevé !). Malgré tout, je vous propose dans cet article un mini-challenge AZ, sorte de bilan du cru 2017 à travers un aperçu des sujets traités par quelques-uns de ses 87 participants.
Après avoir rencontré François, un mari pas très recommandable ?, et pour mon deuxième rendez-vous ancestral, nous partons dans la Loire, en 1821, chez mes SOSAS 32 et 33.
J’espère que ce rendez-vous me permettra enfin de percer le mystère de mes origines christodaires !
Partie en quête de mes ancêtres il y a plus de 25 ans un peu par hasard, et côtoyant d’autres généalogistes aux profils variés, j’ai eu envie de savoir ce qui poussait chacun à se lancer dans l'aventure de la généalogie. C’est donc pour essayer de dresser le(s) portrait(s) du généalogiste que je vous propose ce questionnaire : « Pourquoi, comment et pour quoi faire de la généalogie ? ».
Le "rendez-vous ancestral" initié par Guillaume Chaix, généalogiste professionnel du Grenier de nos ancêtres, consiste à se déplacer dans le temps et dans l’espace pour rencontrer l’un de nos ancêtres et discuter directement avec lui. L’article correspondant est à publier le troisième samedi de chaque mois.
Pour ma première participation à ce #rdvancestral, je me suis transportée à seulement quelques kilomètres de chez moi et en 1890, pour discuter avec le grand-père maternel de mon grand-père maternel, François Berthenet. Nous l’avions déjà indirectement rencontré lorsque j’avais raconté comment une provinciale était montée à Paris, puisque sa femme, Anne-Marie Guignier, était partie avec ses deux enfants depuis Dijon après qu’elle ait découvert en 1886, soit 5 ans après leur mariage, que François la trompait. Elle finira par divorcer en février 1887.
Ce que j’ai découvert lors du deuxième mariage de François, en 1890, renforça ma vision qu'il pouvait être un mari pas très recommandable, et m’a incité à le rencontrer pour lui demander quelques explications...